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12/10/2007
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La tempète a fait rage en Bretagne
240 km/heure, des bateaux en détresse, des containers à la mer, un marin philipin disparu, et des images d'une beauté à faire frémir. Le contraste est toujours cruel.
Publié par Le stress : une maladie de civilisation
Libellés : Terre
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8 commentaires:
Parlant de vitesse je vais t'appeler Lucky Luke, l'homme qui poste plus vite que son ombre !
Je passe hier soir pourtant tard puis ce matin, ouch 3 notes de plus !
Je suis un petit nerveux : les petit nerveux sont rapides et réactifs !
Des montagnes de vagues...
la tête en plein dans la tempête !
Magnifique effectivement... et terrible aussi. Même habituée et adepte on redoute à chaque fois.
Ouais, La Torche, Saint-Guénolé, sous la tempête : c'est toujours un moment fort. A ce moment là on se rend compte : nous ne sommes que de pauvres brindilles !
Je t'envoie des photos demain... Saint-Guénolé vu par dessus la corniche, c'est comment dire... écumant et bluffant surtout !!
Saint-Gué, c'est vraiment un coin comme je n'en ai jamais vu ailleurs : c'est triste, dur viloent, magnifique en même temps. Du, très dur surtout. A devenir fou quand on s'imagine que des gens ont passé leur vie sur ce bout de terre...
J'attends tes photos avec impatience. Je pense que ton regard sur cet endroit que je connais, ça m'intérêsse de voir !
C'est exactement tout ça à la fois...
un coin a vouloir devenir fou si on ne l'est pas déjà
(Les photos que je t'envoie sont plus dans le détail cette fois... pas vraiment de grand paysage, parce qu'en même temps, on y voit plus grand chose quand on est trop près, chasse-neige obligatoire)...
Certe, ce ne sont pas de jolis photos : mais Saint-Gué par grand vent, sous la pluie, avec un ciel plombé et de l'écume partout, c'est exactement cette image là. Crue, "sale", violente. Personnellement, ça m'impressionne toujours et je comprends qu'on y soit vicéralement attaché.
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